Aux heures perdues de la nuit, le vent venait faire danser l'herbe fraiche, teinté du blanc de la lune, si grande et belle ce soir. Ces nuits me rappelle les yeux de ma chère sœur. Souvent nous nous asseyons près d'un étang les nuits semblables à celle-ci, et nous rîmes, douce mélopée qui se mêlé au murmure de l'eau. "Tu verra grand frère, quand je serai grande, tu sera fière de moi, et c'est moi qui m'occuperai de toi"... de toi... de toi... Le vent avais poursuivis son chemin, faisait vacillait le battant de la porte vers l'obscur hall de cette battisse, les escaliers marbré monté au deuxième. Le silence était devenue roi, sur les nombreuses portes que composé ce second niveau, une seul était ouverte, celle où je me trouvé. La pièce était faiblement éclairé par la lueur d'une bougie posé sur le bureaux et les ombres vacillait sur les nombreux livres que composait les bibliothèques qui m’entourai. Assis devant, j'avais en main une pile de lettre dont une marqua particulièrement
mon attention. L'ouvrant, je lis alors son contenue de rouge écrit "chère aimé, les prémisses de la guerre se font ressentir la où je vis, les villageois se sont mis en tête de nous chasser et l'invasion des loups-garous n'arrange pas mes affaires. Je par donc pour les Antilles, seul lieux encore neutre à ma connaissance, j'espère te retrouver bientôt, petite morsure d'amour"
Les Antilles ? ce nom me dis quelque chose, en tout cas c'est là que j'irai. Je bousculais alors la bougie sur les enveloppes, laissant ainsi le feu se nourrir et grandir à sa guise. Partant de cette pièce, mes pas n’emmenèrent vers la porte quand une supplication me stoppa. Le vampire avais survécu. J’avançais doucement vers lui, son corps tremblait de plus en plus.Incapable de bouger, et le feu commençant à prendre la rambarde des escaliers, ses yeux devinrent encore plus rouge "-je t'en supplie, sauve moi ! Je ne sais pas qui tu es où ce que tu veux,mais sauve moi, laisse moi une chance !" ... "-Et à ma sœur, vous lui avais laisser une chance ?!!" De rage je pris des liens pour l'attacher solidement à la rambarde, le laissant ainsi derrière moi. Une fois sortie, j'avançais vers la plaine, le blanc éclatant de l'herbe arboré à présent des nuances de rouge. Je restait ainsi jusqu'à la disparition totale de la battisse."... Tu verra grand frère, je m'occuperai de toi un jour et tu sera fière de moi..." Une larme perla, et avant que je ne m'en rende compte, c'est mes émotions qui prirent le dessus. Si seulement j'étais arrivé plus tôt, si seulement j'avais était plus fort, je l'aurai peu être ... Le jour se leva doucement sur la scène qui eut lieux cette nuit, les villageois étaient tous venue pour constaté l'ampleur des dégâts. Les adultes recherchèrent les survivants ainsi que des choses à sauver, mais tout était cendre. Une jeune fille se détacha du groupe, attiré par un éclat dans l'herbe. A genoux, elle pris dans ses mains sa découverte. Une plume d'un blanc immaculé ainsi que des gouttes de cristal, un trésor pensa t-elle... Les Antilles, doté d'un soleil dardant de ses rayons plages et couleurs des enseignes à l'infinie, était enivré de la joie de vivre. Arrivant vers la fin d'après-midi, et après un si long voyage, je décidais de prendre un peu l'air frais de la mer, et comme tout les jeunes de cet endroit, prendre un verre
au "Hide" plus tard. Allongé sur la plage, je contemplé les étoiles qui commençait à apparaitre une par une. Tout aurai était parfais si une grosse voiture n'avais pas secoué le sol en faisant rugir son moteur. Mais peu importe, je suis si bien la, je pourrai m'y abandonné. Soudain une fille qui ne m'avais pas vue trébucha sur moi, se confondant en excuse. Je la questionna sur sa hâte, parce qu'un jeune homme très séduisant était au bar et qui avait l'air seul m'avais t'elle dit. Suite à une étrange sensation que je ressentie en me tournant vers ce bar, je demandais à la fille d'attendre ici, j'amènerai cette personne plus tard dans la soirée. Me relevant péniblement, j'entrais en ce lieux, ce "Hide". C'est alors que je le vis, comme à son habitude toujours accompagné de galante compagnie. Le sourire au lèvre je commençait déjà à jubiler. Arrivant discrètement, je l'attrape par le coup avec un grand sourire " -Bonsoir Damon, dis moi, y a ta femme qui m'envoie te chercher,
apparemment ton fils te réclame... Oh c'est quoi ? du whisky ? fais gaffe, tu sais qu'à ton âge sa passe plus trop ces choses la"